Une pâle lueur tombait d'une pâle fenêtre.
J'avais les yeux d'une couleur facile à reconnaître
Celle de ces wagons éteints sur les voies de garage
Entrez, dit-elle et venez vous abriter de l'orage.
J'avais traversé les débris de nos nuits féériques
Trébuché sur nos éboulis, sur nos dégâts magnifiques
Avec encore sur le front son tendre tatouage.
Entrez, dit-elle et venez vous abriter de l'orage.
Je parlais du vent sur un lac et d'une voile blanche
Des caresses que ses cheveux recouvrent en avalanche
Du ticket pour l'éternité perdu dans le naufrage.
Entrez, dit-elle et venez vous abriter de l'orage.
Je demandais est-ce que plus tard tout redevient solide ?
Est-ce qu'on peut exister longtemps suspendu dans le vide
Dans ce vertige continu, cet arrêt sur image ?
Entrez, dit-elle et venez vous abriter de l'orage.
Vous aurez d'autres aujourd'huis, d'autres heures de peine
A la longue on se reconstruit'sur des choses certaines.
Le printemps après l'incendie, la planche qui surnage.
Entrez, dit-elle et venez vous abriter de l'orage.
Une pâle lueur tombait d'une pâle fenêtre.
J'avais les yeux d'une couleur facile à reconnaître
Celle de ces wagons éteints sur les voies de garage.
Entrez, dit-elle et venez vous abriter de l'orage.
J'avais les yeux d'une couleur facile à reconnaître
Celle de ces wagons éteints sur les voies de garage
Entrez, dit-elle et venez vous abriter de l'orage.
J'avais traversé les débris de nos nuits féériques
Trébuché sur nos éboulis, sur nos dégâts magnifiques
Avec encore sur le front son tendre tatouage.
Entrez, dit-elle et venez vous abriter de l'orage.
Je parlais du vent sur un lac et d'une voile blanche
Des caresses que ses cheveux recouvrent en avalanche
Du ticket pour l'éternité perdu dans le naufrage.
Entrez, dit-elle et venez vous abriter de l'orage.
Je demandais est-ce que plus tard tout redevient solide ?
Est-ce qu'on peut exister longtemps suspendu dans le vide
Dans ce vertige continu, cet arrêt sur image ?
Entrez, dit-elle et venez vous abriter de l'orage.
Vous aurez d'autres aujourd'huis, d'autres heures de peine
A la longue on se reconstruit'sur des choses certaines.
Le printemps après l'incendie, la planche qui surnage.
Entrez, dit-elle et venez vous abriter de l'orage.
Une pâle lueur tombait d'une pâle fenêtre.
J'avais les yeux d'une couleur facile à reconnaître
Celle de ces wagons éteints sur les voies de garage.
Entrez, dit-elle et venez vous abriter de l'orage.
song info:
Verified yes
Language
GenreEthnic/Folk, Rock
Rank−
Duration00:05:48
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Copyright ©Bob Dylan Music Obo Ram's Horn
WriterBob Dylan, Francis Cabrel
Lyrics licensed byLyricFind
AddedJune 8th, 2005
Last updatedMarch 5th, 2022
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